Il est crucial d’enseigner aux jeunes que nos réserves d’eau limitées sont précieuses et ont besoin de leur protection. Au rythme actuel de l’extraction mondiale, d’ici une décennie, la demande dépassera l’offre de 40 % et les deux tiers de la population mondiale vivront dans des zones de stress hydrique. En termes simples, le patrimoine d’eau douce de la planète est en grande difficulté.
Pourquoi devenir une école bleue?
Alors que le changement climatique alimenté par les émissions de carbone
affecte négativement l’eau, il n’est pas le seul coupable. Les humains polluent, détournent, extraient et gèrent mal l’eau à un rythme alarmant.
Partout, l’eau est également menacée par la contamination par le plastique. À l’échelle mondiale, nous achetons au moins un million de bouteilles d’eau en plastique par minute. Si nous devions mettre ces bouteilles d’une seule année bout à bout, elles seraient à mi-chemin de la lune. Cela ne peut pas durer.
L’accès à l’eau douce est profondément inéquitable
Même des pays comme le Canada, où l’eau est abondante, font face à de nombreux problèmes sérieux. Par exemple, des violations des violations du droit à l’eau ont toujours lieu dans un certain nombre de communautés des Premières Nations.
Éduquer nos jeunes sur ces problèmes et leur donner les moyens de militer en faveur de solutions réelles est essentiel pour surmonter la crise de l’eau.
Notre droit à l’eau
Il y a une crise des droits de la personne alors que des milliards de personnes n’ont pas accès à l’eau potable.
Pourquoi l’eau en bouteille pose-t-elle un problème?
L’eau n’est pas seulement victime du changement climatique. Notre abus de l’eau de la planète est une cause majeure de la crise de l’eau.
L’eau potable dans les communautés autochtones
Dans de nombreuses communautés des Premières Nations à travers le Canada, l’eau potable font encore inexcusablement défaut.